Promenons-nous,
dans les bois…
   

A lire dans la revue d'octobre 2001 :
Le sommaire

Archives : revue d'avril 1999
de Jacques Seray
"La revue a vingt ans"



La galette des rois en forêt de Fontainebleau,
une sortie toujours très conviviale.

Comme il est de tradition tous les ans, nous avons fêté la galette des rois en forêt de Fontainebleau. Cette année, c’est sous un ciel clément que les 27 marcheurs et marcheuses prennent le départ depuis la gare de Fontainebleau-Avon.
Charles mène le cortège et nous nous dirigeons vers le point important de la matinée, la caverne du Cros-Marin où nous avons planté, le 28 novembre dernier, un pin autrichien, et où les anciens de l’UAF venaient régulièrement bivouaquer.
Quant à moi, je devais marcher mais j’ai finalement décidé de rester avec Danielle qui avait la frousse de se retrouver seule dans les bois.
Vers 11 heures, les marcheurs arrivent au lieudit, surpris pour la plupart de voir ce joli petit sapin trôner sur « la place des Audax ». C’est ainsi que je désigne ce lieu dont l’accès difficile ne nous permet pas de casse-croûter (nous devons escalader pour l’atteindre).

Rassemblement et petite pause,
une bonne opportunité pour le photographe.

Nous signons tous le papier que Charles a fait afin de le mettre dans la bouteille prévue à cet effet. On ne sait jamais si dans cent ans ou mille ans on le retrouvait ! A moins que ce soit le garde forestier qui en prenne connaissance avant et nous rappelle à l’ordre ! La manœuvre exécutée, les marcheurs repartent en sens inverse. Danielle, Marie-Claude (une ampoule l’empêche de marcher normalement) et moi-même regagnons la voiture afin d’aller y installer le casse-croûte. A 14 h 15, le groupe arrive affamé et apprécie les bonnes choses que nous avons préparées. Monique Hérubel vient d’effectuer son premier 25 km, elle arrive fatiguée et heureuse. Charles la félicite et lui promet une médaille (pas en chocolat) pour sa première participation. Vient alors le moment de la galette ! Qui sera le roi ou la reine ? Elle est copieusement arrosée d’un bon breuvage et chacun, le ventre plein, regagne la gare ou son véhicule pour d’autres chemins...

Françoise BERTHOU.